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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 19:44

Mis en ligne le 2011-12-07

 

La réunion du Conseil ministériel de l’OSCE réunira les 56 membres de l’organisation. Le Conseil ministériel étudiera l’adhésion d’un nouvel Etat membre, à savoir la Mongolie. Le Conseil saluera également l’élection du nouveau secrétaire général de l’OSCE, M. Lamberto Zannier, ainsi que la reconduction du mandat du directeur du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l’Homme (BIDDH), Janez Lenarcic, pour une nouvelle période de 3 ans (jusqu’en juin 2014).

 

Les travaux de la réunion ministérielle se concentreront sur les principaux défis de la sécurité euro-atlantique et euro-asiatique, sur l’avancement du processus de Corfou lancé sous présidence grecque (processus de réflexion sur les défis de la sécurité européenne au 21ème siècle), ainsi que sur les réponses efficaces aux menaces transnationales.

 

Dans le contexte des conflits gelés en Géorgie, au Haut-Karabagh et en Transnistrie, les travaux du Conseil porteront notamment sur le renforcement des capacités de gestion des conflits, visant à améliorer les capacités de gestion des conflits, ce qui permettrait à l’OSCE d’agir de manière plus rapide et efficace à une crise ou une situation de conflit.

 

Un autre sujet à l’ordre du jour sera l’approfondissement des engagements de l’OSCE dans le domaine de la liberté des médias. A ce sujet, le Conseil se penchera sur l’application des principes de la liberté d’expression et du pluralisme, notamment en ce qui concerne les médias numériques. Un autre sujet concerne le renforcement de la sécurité des journalistes, qui a pour objectif l’établissement d’un recueil des engagements existants visant à protéger la personne et l’intégrité des journalistes et des professionnels des médias.

 

Dans le contexte des développements récents dans le sud de la méditerranée ("printemps arabe"), le Conseil mènera également des discussions sur le renforcement de l’engagement de l’OSCE avec ses partenaires de la coopération. A ce sujet, les ministres étudieront plus particulièrement les moyens de soutien de l’OSCE à la transition démocratique en Afrique du Nord, ainsi que le renforcement de l’engagement et des projets avec l’Afghanistan.

 

En outre, les discussions porteront sur les missions de l’OSCE, ainsi que sur l’avenir de la sécurité en Europe.

 

En marge du sommet, le ministre aura plusieurs entrevues bilatérales

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 17:56

Mis en ligne le 2011-12-05

 

Lundi 5 décembre, la terre a de nouveau tremblé en Monolie Centrale (4.4 mb). Le précédent évenement de ce type ne remonte qu'au 27 novembre dernier, d'une intensité legèrement supérieure (4.9)

Rappel, l'augmentation de 1 de la magnitude, correspond a uun facteur 30 de la puissance du seisme.

Les données du tremblement de terre d'il y a quelques minutes :  

 

 96

 

 97

 

 

 

 

4.4 Mb - CENTRAL MONGOLIA
Preliminary Earthquake Report
Magnitude 4.4 Mb
Date-Time
  • 5 Dec 2011 15:32:42 UTC
  • 5 Dec 2011 23:32:42 near epicenter
  • 5 Dec 2011 16:32:42 standard time in your timezone
Location 44.381N 101.272E
Depth 28 km
Distances
  • 207 km (128 miles) WNW (300 degrees) of Bayandalay, Mongolia
  • 214 km (133 miles) E (100 degrees) of Bayan-Ondor, Mongolia
  • 339 km (211 miles) S (181 degrees) of Tsetserleg, Mongolia
  • 582 km (362 miles) SW (230 degrees) of ULAANBAATAR, Mongolia
Location Uncertainty Horizontal: 10.2 km; Vertical 34.7 km
Parameters Nph = 22; Dmin = 553.6 km; Rmss = 1.23 seconds; Gp = 61°
M-type = Mb; Version = 4

 

 98

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 15:21

Mis en ligne sous forme article le 2011-12-02

 

 Lien vers le sommaire des Focus

 

Comment un continent se morcelle-t-il ?

En plein coeur de la Sibérie, le lac Baïkal est un lieu unique pour étudier cet éclatement. Depuis cinq ans, grâce aux satellites de positionnement GPS, l'ouverture de cette entaille est mesurée au millimètre près : les premiers résultats donnent une image bien différente de celle des modèles théoriques...
mgn_plaque.jpg
Juillet 1994, nous débarquons pour la première fois sur l'aéroport d'Irkoutsk, en Sibérie, encombrés d'étranges valises noires qui nous valent d'âpres discussions avec les douaniers. Elles contiennent les instruments de positionnement satellitaire GPS que nous allons déployer autour du lac Baïkal. Ce lac, le plus profond de la planète (jusqu'à 1 640 mètres), est niché dans une entaille de la croûte terrestre le long de laquelle le continent asiatique se déchire et commence à se disloquer. Il s'agit donc d'un laboratoire naturel exceptionnel pour étudier le tout premier stade de l'éclatement d'un continent (la formation d'un « rift* » dans notre jargon), prélude à l'apparition d'un nouvel océan. Mais qui dit laboratoire grandeur nature, dit échelle de temps géologiques : les dépôts sédimentaires accumulés au fond du lac indiquent que le rift s'ouvre en moyenne à une vitesse annuelle inférieure au centimètre depuis environ 3,5 millions d'années. Peut-on quantifier dans le détail des mouvements aussi minimes à l'échelle de quelques années ?
Sites de mesure GPS. Après quelques jours de préparatifs logistiques avec nos collègues russes de l'Institut de la croûte terrestre à Irkoutsk, trois équipes se séparent pour rejoindre leur secteur de travail respectif. Sur place, chacune doit trouver un site de mesure qui doit répondre à deux critères impératifs : un, il faut trouver un affleurement de roche dure, tels le granite ou le calcaire, assurant un site parfaitement stable ; deux, l'horizon doit y être dégagé dans toutes les directions, pour assurer une réception parfaite des satellites GPS.
Ces conditions, apparemment simples à réunir, sont parfois un défi impossible dans ces zones montagneuses, le plus souvent couvertes d'une forêt dense : la taïga. Nous devons nous résoudre dans certains cas à abattre quelques arbres gênants... Reste ensuite à sceller un cylindre d'acier dans le rocher et à installer l'antenne et le récepteur (voir en bas de page). Pendant quatre jours, nos instruments enregistrent les informations reçues des satellites. Analysées au retour de la mission, ces données fourniront les positions relatives de nos sites de mesure avec une précision de quelques millimètres. Dans cette débauche de haute technologie, c'est cependant parfois grâce aux batteries de nos camions que nous parvenons à assurer l'acquisition continue des données ! Au terme de ces quatre jours, chaque équipe se déplace vers son site de mesure suivant, et ainsi de suite pendant les trois semaines de notre campagne de terrain. Au total, ce sont douze points qui sont mesurés dans la moitié sud du rift Baïkal, sur une zone de cinq cents kilomètres carrés. Pour détecter les mouvements entre ces points avec une précision de l'ordre du millimètre par an, il a fallu répéter ces campagnes de terrain chaque année pendant quatre ans, en revenant aux mêmes sites et en renouvelant les mesures à l'identique.

Vitesse des mouvements. Aujourd'hui, après cinq ans de mesures, un premier résultat tombe : 4 ou 5 millimètres par an(1). C'est à cette vitesse que s'écartent, de part et d'autre du rift Baïkal, deux morceaux du continent eurasiatique, la Mongolie et la Sibérie. Tout se passe comme si la Mongolie, au sud du rift, se déplaçait lentement vers l'est par rapport à la Sibérie, au nord du rift. Si la direction moyenne du mouvement, O-NO/E-SE, est cohérente avec celle des glissements sur d'autres grandes failles d'Asie, la vitesse est surprenante.

dechirure_asie.jpgBien que relativement faible, elle est deux à cinq fois supérieure aux prédictions des modèles théoriques de déformation de l'Asie (2) ! Les résultats GPS montrent aussi que les déformations sont essentiellement localisées le long des grandes failles bordant le lac (jusqu'à 200 kilomètres de long et 30 kilomètres de profondeur) et jalonnées de dizaines de milliers de petits séismes (fig. 1 points violet). On observe que plus les sites de mesure sont proches de ces failles, plus leurs déplacements relatifs sont faibles : cela indique qu'elles sont en train d'accumuler de l'énergie, qui sera inévitablement libérée un jour ou l'autre lors d'un grand séisme (magnitude supérieure à 7,5) comme elles l'ont déjà fait six fois au cours des trois derniers siècles. En cela, le Baïkal est tout à fait au standard des grands rifts, ces failles « géantes » étant une de leurs caractéristiques majeures(I).

Moteur de la fracturation. Que nous apprennent ces résultats sur la formation du Baïkal, et plus généralement sur l'origine des rifts continentaux ? Jusqu'ici la collision entre l'Inde et l'Eurasie était considérée comme l'unique moteur de la déformation en Asie (2). Mais le désaccord considérable entre la vitesse d'extension mesurée et celle prédite théoriquement suggère l'intervention d'un mécanisme supplémentaire.

Rappelons tout d'abord les thèses actuelles pour expliquer la fracturation d'un continent. On oppose classiquement deux scénarios. Selon le premier, le rifting actif, tout est déclenché par la remontée d'une quantité massive de matériel chaud des profondeurs du manteau. Ce « panache », c'est le terme consacré, provoque d'abord un bombement topographique large de quelques centaines de kilomètres, puis l'étirement et la rupture de la lithosphère*.

Dans le second scénario, le rifting passif , l'amincissement de la lithosphère sous le rift résulte au contraire du jeu des mouvements horizontaux entre les plaques. Beaucoup de chercheurs admettent aujourd'hui que ces deux situations extrêmes ne sont ni systématiques ni exclusives : l'action seule d'un panache ascendant n'est probablement pas suffisante pour provoquer la rupture d'une plaque, mais peut être nécessaire pour affaiblir la lithosphère et favoriser cette rupture.

Un rift froid. Dans le cas du rift Baïkal, l'école russe privilégiait le premier scénario, tandis que l'école française défendait le second. Pour éclairer ce débat, parallèlement aux mesures GPS, nous avons développé de nouveaux modèles gravimétriques (3,4) et tomographiques* (5,6), deux méthodes pour sonder indirectement les profondeurs de la croûte et du manteau. Résultat troublant : aucun indice de panache notable ! L'ensemble de ces travaux révèle en effet que la croûte continentale sous le rift Baïkal est froide, peu amincie et résistante du point de vue mécanique. Abondent également dans ce sens des modélisations numériques récentes qui, simulant la déformation de la lithosphère sous l'action de forces extensives horizontales, ont montré qu'il est possible de former le rift Baïkal sans faire intervenir de panache !

Pièce manquante. Ce panache aurait pourtant été un bon candidat pour expliquer la vitesse d'extension élevée que nous mesurons au travers du rift Baïkal... Quel mécanisme invoquer ? Nous inspirant de travaux sur la convection dans le manteau réalisés dans les années 1980 (7), nous proposons une nouvelle conjecture : la pièce manquante du puzzle se situerait à quelques milliers de kilomètres de là, à l'ouest du Pacifique, là où les plaques Philippine et Pacifique plongent en subduction* sous l'Asie. Sous certaines conditions en effet, une plaque océanique froide qui plonge sous un continent peut accélérer les mouvements de brassage dans le manteau, augmentant ainsi la force de traction à la base de la lithosphère continentale. Cette force de traction, en se superposant aux forces liées à la collision Inde-Asie, pourrait expliquer le taux d'extension « anormalement » élevé que nous mesurons dans le rift Baïkal. Dans ce scénario, c'est donc un processus de subduction situé à plusieurs milliers de kilomètres qui, en modifiant le régime de convection à grande échelle sous le continent asiatique, contribuerait à la déformation de la croûte terrestre jusqu'au coeur de ce continent. Hypothèse audacieuse ? Nous travaillons actuellement à la valider (ou à l'infirmer !).

Au-delà de ce contexte sibérien, les mécanismes contrôlant la déformation interne des continents restent mal connus et sont aujourd'hui un axe majeur de recherches en géodynamique. Cette question suscite bien des débats, le cas de l'Asie en est le plus bel exemple.

Deux écoles s'affrontent. L'une, menée par Philip England de l'université d'Oxford en Grande-Bretagne et Peter Molnar du Massachusetts Institute of Technology aux Etats-Unis, défend un modèle où la déformation de l'Asie s'effectuerait de manière diffuse et continue par un épaississement de la lithosphère au nord de l'Inde, au fur et à mesure de sa collision avec l'Eurasie. L'autre, conduite par Paul Tapponnier de l'Institut de physique du Globe de Paris, prône un modèle de type « plaquiste » selon lequel l'essentiel de la déformation s'exprimerait le long de grandes failles actives permettant l'expulsion vers l'est de grands blocs continentaux rigides (Indochine, Chine du Sud, Chine du Nord). Dans les deux cas, la collision Inde-Asie est le seul moteur de ces grands bouleversements.

Dans ce débat, nos résultats ajoutent une tout autre composante puisqu'ils semblent indiquer une contribution de la subduction des plaques Pacifique et Philippine sous l'Asie ! Quoi qu'il en soit, la multiplication de mesures directes par GPS sera certainement une des clés pour la compréhension des déformations à l'intérieur des continents. Comme pour le rift Baïkal, il faut s'attendre à ce que ce nouvel éclairage révèle des mécanismes probablement plus complexes que ceux actuellement invoqués.

JACQUES DEVERCHÈRE ET ERIC CALAIS

 

Le système GPS et la tectonique des plaques

 

 

Le GPS (Global Positioning System) est un système de géodésie spatiale fondé sur une constellation de satellites dédiés et permettant le positionnement en trois dimensions (latitude, longitude, altitude) ainsi que la mesure du temps. Développé aux Etats-Unis par les militaires dans les années 1980, il est entièrement opérationnel depuis avril 1994, avec vingt-quatre satellites assurant une couverture complète du Globe 24 h/24. Ces satellites, dont les trajectoires sont connues avec une précision de quelques centimètres, émettent en continu un signal radio sur deux fréquences (1.2 Ghz et 1.5 Ghz). Les récepteurs GPS décodent ce signal pour déterminer la distance qui les sépare de chacun des satellites qu'ils peuvent « écouter ». En captant simultanément les signaux de trois satellites, un récepteur fournit donc les données suffisantes pour résoudre les trois inconnues définissant sa position : latitude, longitude et altitude. Une quatrième inconnue est le décalage de temps entre les horloges des satellites et des récepteurs. En toute rigueur, il faut donc au moins quatre satellites pour se positionner par GPS.

Les distances satellite-récepteur peuvent être déterminées à partir de l'identification de codes émis de manière répétitive par les satellites, dont on connaît le temps d'émission et de réception. C'est le mode de positionnement le plus simple, mais sa précision est limitée entre 1 et 100 mètres. Une seconde manière de calculer des distances satellite-récepteur est de compter le nombre de longueurs d'onde (de « phases ») qui se sont propagées entre un satellite et le récepteur. La longueur d'onde des signaux GPS est de l'ordre de 20 centimètres : comme les récepteurs sont capables de détecter une fraction de longueur d'onde, théoriquement, la précision millimétrique est donc possible. C'est cette stratégie qui est utilisée pour les applications géophysiques du GPS. Les données (code et phase) enregistrées par des récepteurs GPS sur le terrain sont traitées ensuite par des logiciels qui prennent en compte différentes sources d'erreurs. Citons en particulier l'influence de l'atmosphère terrestre (en particulier, l'ionosphère et la troposphère), dont les constituants ralentissent la propagation du signal GPS par rapport à la vitesse théorique de la lumière, ou celle de la précision avec laquelle sont connues les orbites des satellites GPS. La répétition de ces mesures sur plusieurs années permet de calculer les déplacements relatifs des sites, c'est-à-dire des plaques tectoniques auxquelles ils appartiennent, et de quantifier la déformation subie par la croûte terrestre.

L'un des sites de mesures GPS dans la région du lac Baïkal. L'antenne GPS (disque métallique) est installée au sommet d'un trépied à l'aplomb d'un repère géodésique (petit cylindre métallique) scellé dans le rocher. Cette technique permet de mesurer la distance entre les points situés à plusieurs centaines de kilomètres les uns des autres avec une précision de quelques millimètres.

 

Références:

(1) E. Calais et al., Geophys. Res. Lett., 25, 4003, 1998.

(2) G. Peltzer et P. Tapponnier, J. Geophys. Res., 93, 15085, 1988 ; G. Peltzer et F. Saucier, J. Geophys. Res., 101, 27943, 1996 ; P. England et P. Molnar, Geophys. J. Int., 130, 551, 1997.

(3) E.B. Burov et al., Geophys. Res. Lett., 21, 129, 1994.

(4) C. Petit et al., Earth Planet. Sci. Lett., 149, 29, 1997.

(5) I.Y. Koulakov, Geophys. J. Int., 133, 467, 1998.

(6) C. Petit et al., Tectonophysics, 296, 125, 1998.

(7) H-C. Nataf et al., J. Geophys. Res., 86, 643, 1981.

 

 Lien vers le sommaire des Focus

 

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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 22:16
Miss en ligne le 2011-11-30
 
Video en fin d'article. 
 
Pour les amateurs de mini cylindrées et de larges horizons, le "Mongol Rally" est la course dans laquelle se lancer. Petite présentation de l'édition     2012
 
"Imaginez que vous êtes perdu dans un désert immense, à des centaines de kilomètres de la civilisation, en train de conduire une voiture que même votre grand-mère n'assumerait pas." C'est ainsi que les organisateurs du "Mongol Rally" décrivent l'une des courses automobiles les plus déjantées et spectaculaires du monde.
 
Ce rallye réunit des équipages improbables à bord de voitures ne dépassant pas les 1,2 L de cylindré (125 cc pour les motos). Autant dire que la route entre le Royaume-Uni (le point de départ) et Oulan-Bator en Mongolie s'annonce longue pour les participants, un peu cintrés, qui courent pour … la gloire. Mais attention la vraie, celle qui consiste à rapporter de l'argent en faveur d'oeuvres humanitaires.

Depuis 2004, les équipes participantes au "Mongol Rally" ont remporté 2 millions de livres (2 343 000 euros). Pour l'édition 2012, les fonds récoltés seront reversés à l'ONG Lotus Children's Center qui vient en aide aux enfants et aux familles défavorisées de Mongolie.

Cette année, le départ de la course sera donné mi juin, elle devrait se terminer 10 000 km plus à l'est, deux mois plus tard. Avis aux amateurs
 
 
 
 
 
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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 17:32

Mis en ligne le 2011-11-30

 

95.jpg

 

Un nid rempli de bébés dinosaures fossilisés a été découvert en Mongolie, permettant aux paléontologues d’en savoir un peu plus sur le type de soins prodigués aux jeunes par ces reptiles du passé.

En explorant la formation de Djadokhta en Mongolie, le paléontologue Pagmin Narmandakh a fait une découverte pour le moins remarquable. Ses investigations au sein d’un dépôt de sable, l’ont amené à révéler un nid fossilisé présentant les squelettes de quinze bébés Protoceratops andrewsi.

La valeur du vestige, d’une qualité de conservation remarquable, a déjà été estimée à plus de 56 millions d’euros. Les observations menées par les scientifiques en charge de l’étude ont par ailleurs fait l’objet d’une publication au sein de l’édition de novembre du Journal of Paleontology.

Si le nid fossilisé est particulièrement exceptionnelle, c’est que contrairement à d'autres retrouvés auparavant, celui-ci présente des jeunes morts à environ un an et non des œufs. "C’est à couper le souffle" confie David Fastovsky, co-auteur de l’article publié et paléontologue à l'Université de Rhode Island, aux États-Unis.

Morts ensevelis

Au sein de leur abri, les squelettes des petits Protocératops ont été retrouvés orientés dans la même direction. Cette disposition représente pour les chercheurs un précieux indice sur la cause de leur mort. "Notre scénario est le suivant : les bébés ont été installés dans le nid afin de les protéger du vent lors de l’arrivée d’une tempête de sable mais ils ont finalement été enterrés sous la dune", explique David Fastovsky.
Si les scientifiques ont longtemps cru que les dinosaures, comme les crocodiles pondaient leurs œufs puis quittaient définitivement le nid, ce point de vue semble être aujourd’hui révolue. "Nous pensons qu'il y a de bonnes preuves en faveur d’une sorte de prise en charge parentale, parce que ces bébés, âgés d’un an ont grandi ensemble dans le nid", souligne le paléontologue.

Protoceratops andrewsi est une espèce de la famille des Protoceraptops, proche des Triceratops. Il est identifié comme un petit spécimen herbivore qui vivait dans les plaines de sable au niveau de l’actuel désert de Gobi il y a environ 75 millions d'années.

Découvrez les images du nid fossilisé et des fossiles de bébés dinosaures sur Maxisciences

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 12:37

Mis en ligne le 2011-11-28

 

La Mongolie s'apprête à se lancer dans une entreprise de géo-ingénierie sans précédent : la construction de l'équivalent d'un glacier artificiel géant pour rafraîchir la capitale Oulan-Bator en été, et ainsi réduire les demandes en énergie tout en approvisionnant la ville en eau.

 

C'est ce mois-ci que la Mongolie est sur le point de se lancer dans une aventure à la fois ambitieuse et surprenante, mettant la géo-ingénierie à l'honneur : la capitale mongole, Oulan-Bator, devrait se doter d'un glacier artificiel géant, dont la formation pourrait permettre de rafraîchir la ville durant les mois d'été. Oulan-Bator, ville très polluée de plus d'un million d'habitants, voudrait profiter de sa position de capitale la plus froide du monde (des températures moyennes de - 10° Celsius à - 24,6°C du mois de novembre au mois de mars) pour « stocker » du froid pendant le long et rude hiver, et le redistribuer durant les mois d'été.

Comme le rapporte le quotidien anglais The Guardian, les scientifiques, qui sont derrière cet ambitieux projet à 1 milliard de tugriks (plus de 500 000 euros), font le pari que ce glacier émettra suffisamment d'air frais pour être pompé dans toute la capitale pendant l'été, tout en fournissant de précieuses ressources en eau potable et pour l'irrigation, tandis que la glace fondra progressivement avec la hausse des températures (plus de 21°C de juin à août).

La société d'ingénierie mongole ECOS & EMI entamera la « construction » du glacier en formant des couches de glace d'un mètre d'épaisseur en hiver, à partir du gel progressif du suintement de l'eau douce de la rivière Tuul, qui arrose Oulan-Bator. Couche après couche, la méthode sera répétée durant les mois suivants, produisant finalement un glacier à part entière.

Ces couches, appelées « naleds », ont déjà servi à de nombreuses reprises dans des projets de construction, notamment de routes et de ponts en Corée du Nord, ou par l'armée américaine dans l'Arctique. Si l'expérience est couronnée de succès, des projets similaires pourraient bien voir le jour dans d'autres villes partageant de rudes hivers, alternatives bon marché et écologiquement intéressantes.

Par Rahman Moonzur, par techniques ingenieur

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 16:45

Mis en ligne le 2011-11-28

 

He Yong, secrétaire adjoint de la Commission centrale de contrôle de la discipline du Parti communiste chinois (PCC), s'est engagé lundi à promouvoir les relations avec le Parti national démocratique mongol.

Les relations de bon voisinage et de coopération réciproque entre la Chine et la Mongolie correspondent non seulement aux intérêts fondamentaux des deux pays et des deux peuples, mais contribuent également à la paix, à la stabilité et au développement de toute l'Asie, a déclaré He Yong, lors d'une rencontre avec une délégation du Parti national démocratique mongol.

Le PCC et le gouvernement chinois attachent une grande importance aux relations entre la Chine et la Mongolie et souhaitent renforcer les échanges et la coopération globale afin d'établir un partenariat stratégique durable, a ajouté M. He.

Mendsaikhany Enkhsaikhan, président du Parti national démocratique mongol, a partagé les points de vue de M. He. Il s'est engagé à travailler de concert avec la partie chinoise pour faire progresser le partenariat stratégique de façon durable, stable et saine.

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 13:49

Mis en ligne le 2011-11-27

 

 

      91

 

 

    92

4.9 Mb - CENTRAL MONGOLIA
Preliminary Earthquake Report
Magnitude 4.9 Mb
Date-Time
  • 27 Nov 2011 10:14:11 UTC
  • 27 Nov 2011 18:14:11 near epicenter
  • 27 Nov 2011 11:14:11 standard time in your timezone
Location 45.439N 99.227E
Depth 14 km
Distances
  • 90 km (56 miles) NNE (32 degrees) of Bayan-Ondor, Mongolia
  • 276 km (171 miles) SW (217 degrees) of Tsetserleg, Mongolia
  • 309 km (192 miles) SE (143 degrees) of Uliastay, Mongolia
  • 546 km (340 miles) NE (56 degrees) of Hami, Xinjiang, China
  • 644 km (400 miles) WSW (248 degrees) of ULAANBAATAR, Mongolia
Location Uncertainty Horizontal: 17.8 km; Vertical 6.2 km
Parameters Nph = 114; Dmin = 612.3 km; Rmss = 0.84 seconds; Gp = 97°
M-type = Mb; Version = 6
  93
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26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 02:12

Mis en ligne le 2011-11-26

 

Au cours de la session qui s'est tenue vendredi, le Comité pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l'Organisation des Nations Unies pour la science et la culture (UNESCO), réuni à Bali, Indonésie, du 22 au 29 novembre, a inscrit deux éléments des Emirats arabes unis et du Pérou sur la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente et sélectionné cinq meilleures pratiques de sauvegarde de Belgique, Brésil, Hongrie et Espagne.

Eshuva, les prières chantées en Harákmbut des Huachipaire du Pérou ont été ajoutées à Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente. Les Huachipairi sont un groupe ethnique autochtone parlant le harákmbut et vivant dans la forêt tropicale du sud du Pérou. L'eshuva, prière chantée exprimant les mythes religieux de ce peuple, est interprété pour soigner un malade ou lors de cérémonies traditionnelles. Si l'on en croit la tradition orale, les chants eschuva auraient été appris directement des animaux de la forêt et ils permettent d'invoquer les esprits de la nature et de solliciter guérison, soulagement ou bien-être de leur part. Les chants sont uniquement interprétés en harákmbut, sans instrument.

Al Sadu, le tissage traditionnel dans les Émirats arabes unis a également été ajouté à la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente. Al Sadu désigne une forme traditionnelle de tissage utilisée aux Émirats arabes unis par les femmes bédouines des communautés rurales afin de produire des vêtements soyeux et des accessoires décoratifs pour les chameaux et les chevaux. Les hommes tondent les moutons, les chameaux et les chèvres, et les femmes se rassemblent en petits groupes pour filer et tisser tout en échangeant des nouvelles sur la famille et en chantant ou en récitant des poèmes à l'occasion. Lors de ces rassemblements, les filles apprennent en observant et en participant peu à peu à des tâches comme le tri de la laine, avant de s'essayer aux techniques plus complexes requises par le tissage.

Sur les 18 candidatures proposées pour inscriptions sur la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente, 11 éléments ont été inscrits : le Yimakan, les récits oraux des Hezhen (Chine) ; le Yaokwa, rituel du peuple Enawene Nawe pour le maintien de l'ordre social et cosmique (Brésil), la danse Saman (Indonésie) ; les compétences traditionnelles de construction et de navigation des bateaux iraniens Lenj dans le golfe persique ; le Naqqäli, narration dramatique iranienne ; la société secrète des Kôrêdugaw, rite de sagesse du Mali ; l'épopée maure T'heydinne (Mauritanie) ; la technique d'interprétation du chant long des joueurs de flûte limbe – la respiration circulaire (Mongolie) ; le chant Xoan de la Province de Phú Tho (Viet Nam).

Les cinq meilleures pratiques de sauvegardes sélectionnées par le Comité pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel sont :

Un programme pour cultiver la ludodiversité : la sauvegarde des jeux traditionnels en Flandre (Belgique). La ludodiversité se réfère à la grande diversité des jeux, des sports, des exercices physiques, des danses et des acrobaties. L'organisation non gouvernementale Sportimonium a mis en oeuvre des mesures visant à sauvegarder le patrimoine des jeux et des sports en Flandre ( Belgique), dont des formes de jeux de tir, de boules, de lancer et de balle. Les mesures de sauvegarde développées par Sportimonium comprennent le soutien à des organisations spécialisées ou faitières, des publications, des festivals, des manifestations, des échanges d'expertise, des actions de promotion, des services de prêt de matériel de jeux traditionnels, ainsi qu'un parc de jeux traditionnels. La documentation et la recherche systématiques constituent la base du programme, dont les résultats peuvent être consultés dans un centre de documentation.

L'appel à projets du Programme national du patrimoine immatériel (Brésil) : chaque année, le programme national du patrimoine immatériel lance un appel national à projets pour encourager et soutenir des initiatives de sauvegarde et de pratiques proposées par des organisations brésiliennes publiques ou privées à but non lucratif. Les projets doivent impliquer la participation de la communauté et des groupes concernés, promouvoir l'inclusion sociale et l'amélioration des conditions de vie des producteurs et des détenteurs de ce patrimoine, et respecter les droits individuels et collectifs. Le département du patrimoine immatériel de l'IPHAN (institut national du patrimoine historique et artistique) à Brasilia sélectionne les projets, après évaluation par un comité national d'experts.

Le musée vivant du Fandango (Brésil) : l'Association culturelle Caburé, une organisation non gouvernementale, a créé le musée vivant du Fandango pour promouvoir des actions de sauvegarde du fandango, un style musical et de danse populaire pratiqué dans les communautés côtières au sud et sud-est du Brésil. Environ 300 praticiens locaux ont participé à la création d'un musée communautaire de plein air et d'un circuit de visites et d'échanges d'expériences, de centres culturels et de centres de recherche, et de lieux de vente d'artisanat local. Le musée organise des actions de sensibilisation, tels que des spectacles locaux et des ateliers avec des enseignants, la publication de livres et de CD, l'exploitation d'un site web et la mise à disposition de collections bibliographiques et audiovisuelles.

La méthode Táncház : un modèle hongrois pour la transmission du patrimoine culturel immatériel (Hongrie) : la méthode Táncház ( « maison de danse ») d'enseignement de la danse folklorique et de la musique combine des formes traditionnelles d'apprentissage avec des méthodes modernes de pédagogie et de folklore. Toute personne, sans distinction d'âge ou de compétence, sans expérience préalable, peut devenir un participant actif. À travers la pratique et la transmission de ce patrimoine culturel immatériel, l'objectif est d'établir une forme de loisir qui soit fondée sur les valeurs, contribue au renforcement des liens au sein de la communauté, et reste distrayante tout en étant didactique. Le festival national et le salon du Táncház représentent chaque année la plus grande réunion de tous les porteurs, médiateurs et amateurs de cette méthode. Des ateliers, des camps, des théâtres ainsi que des clubs d'artisanat se sont également développés.

La revitalisation du savoir traditionnel de l'élaboration de la chaux artisanale à Moron de la Frontera, Séville, Andalousie ( Espagne) : la pratique traditionnelle de l'élaboration de la chaux a longtemps été une source d'emploi pour Morón de la Frontera et un marqueur de son identité, mais les fours sont peu à peu tombés en désuétude et la transmission de ce savoir a cessé. L'Association culturelle des fours à chaux de Morón a été créée pour sensibiliser à la pratique et à l'importance de l'élaboration de la chaux artisanale, et pour améliorer les conditions de vie des artisans. Elle a donné naissance à un centre ethnographique et à un musée vivant où le processus de fabrication est exposé in situ, favorisant ainsi la transmission des techniques aux nouvelles générations.

Le Comité examinera aussi 39 éléments sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel. La Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a été adoptée par la Conférence générale de l'UNESCO en 2003 et compte désormais 139 Etats parties. Seuls les pays qui l'ont ratifiée peuvent présenter des éléments à l'inscription sur les Listes du patrimoine culturel immatériel.

Le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est composé de 24 représentants des Etats membres de l'UNESCO.

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 12:53

Mis en ligne le 2011-11-25

 

 

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Des représentants du Kazakhstan, du Tadjikistan et d'Ouzbékistan, ainsi que des experts internationaux, se sont rassemblés mercredi en marge d'une conférence de l'ONU sur la faune sauvage, organisée par la Convention sur la conservation des espèces Migratrices appartenant à la Faune Sauvage (CMS), sous l'égide du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE), à Bergen, en Norvège, afin d'étudier le statut de conservation du cerf de Bactriane et de convenir de priorités futures.

Depuis 2002, lorsqu'un Mémorandum d'Accord concernant la Conservation et la Restauration du cerf de Bactriane a été conclu sous l'égide de la CMS avec le Kazakhstan, le Tadjikistan, l'Ouzbékistan, le Turkménistan, le Fonds mondial pour la nature de Russie et le Conseil international de la chasse et de la conservation du gibier, la population globale du cerf en Asie centrale a quadruplé, passant de 350 à 1.620.

Toutefois, la dégradation des écosystèmes des forêts ripicoles se poursuit et constitue une grave menace pour la survie sur le long terme de cette espèce de cerf. En conséquence, les délégués présents à la Conférence ont également convenu d'une feuille de route visant à conserver le cerf de Bactriane et son habitat, y compris le développement d'un nouveau Plan d'action pour l'espèce.

" Comparées aux plus célèbres migrations du monde, telles que les mouvements de gnous dans l'écosystème de Serengeti-Mara en Tanzanie et au Kenya, les grandes migrations de gazelles de Mongolie et d'antilopes Saïga en Eurasie attirent beaucoup moins l'attention. La CMS travaille s'efforce de protéger ces animaux et les terres arides uniques d'Eurasie comme réserves naturelles pour les espèces migratrices ", a déclaré la Secrétaire exécutive de la CMS, Elizabeth Maruma Mrema.       

 

L'Asie centrale est l'une des rares régions possédant un vaste réseau cohérent d'écosystèmes variés. Les chameaux de Bactriane, les antilopes Saïga et les gazelles dépendent de ces écosystèmes, tout en les préservant. Au cours de leurs trajets migratoires, ils parcourent de longues distances à travers les steppes et déserts d'Asie centrale et ont besoin d'écosystèmes intacts et contigus. En contrepartie, ils constituent des indicateurs importants du statut de ces écosystèmes.

 

Les projets d'infrastructures liés à l'exploitation des réserves de pétrole, de gaz et de minéraux divisent d'importants habitats et créent des barrières pour les animaux migrateurs, dont les populations sont séparées en de petits groupes, les exposant ainsi à un risque plus élevé d'extinction.

 

Sous l'égide du nouveau Plan d'action, les agences en charge de la faune sauvage et les gardes forestiers seront formés et renforcés. Des incitations économiques, telles que le partage des revenus issus de la chasse contrôlée et durable et de l'écotourisme avec les communautés locales, aideront les populations à gérer les ressources naturelles de manière responsable.

 

Par ailleurs, le Plan entend protéger les forêts des plaines ripicoles que l'on trouve encore le long des bassins fluviaux de l'Amou-Daria et du Syr-Daria, qui constituent les plus grandes et les plus importantes voies d'eau en Asie centrale et des habitats critiques pour le cerf de Bactriane. Il couvre également la chaîne de montagnes du Pamir et les monts Tian, qui abritent l'argali sauvage, le markhor et le léopard des neiges fortement menacé d'extinction et où le braconnage et le commerce illégal sont courants.

 

« Le Plan de la CMS apporte une première stratégie visant à renforcer la collaboration transfrontière entre les gouvernements, les agences de conservation de la nature, les ONG et les communautés locales afin d'améliorer la recherche, l'application des lois en faveur de la faune sauvage et l'échange d'informations, » a ajouté Mme Maruma Mrema.

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