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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 22:12
2014-02-13
This is a documentary on the Dukha-Tsaatan reindeer herders of Mongolia produced in 1983 by Mongol Kino, the state-run film firm . It was shot primarily in the East Taiga region of Tsagaan Nuur
 
 
 
 
 
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2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 20:17
2014-02-02
 
En Mongolie, un petit garçon de 11 ans rêve de devenir acrobate. Mais l'apprentissage dans une école de cirque de la capitale est loin d'être probant et ses parents l'envoient surmonter sa peur des chevaux chez ses grands-parents nomades.
 
 
 
 
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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 23:24

mis en ligne le 2013-11-20

 

La gerbille, ou Mérione de Mongolie (alimentation, maintenance et reproduction)

La gerbille, ou Mérione de Mongolie (alimentation, maintenance et reproduction)La gerbille, ou Mérione de Mongolie (Meriones unguiculatus), est un petit rongeur originaire d’Afrique du Nord, Turquie, Asie Centrale et du Nord-Ouest de l’Inde.

Elle mesure 21 à 25 cm et pèse 50 à 110 g, le mâle étant moins gros que la femelle. Elle peut vivre trois ou quatre ans. Son allure n’est pas sans rappeler celle d’une petite marmotte, notamment lorsqu’elle se met en position d’observation, assise sur son postérieur, le haut du corps tendu, en alerte. Sa queue est poilue et lui sert de point d’appui lorsqu’elle s’affaire, à la façon des kangourous.

Elle a été découverte à l’Est de la Mongolie en 1867. Après avoir été élevée avec succès au Japon vers 1930, elle a progressivement été introduite aux Etats-Unis et dans le reste du monde, où elle est rapidement devenue un animal de compagnie très apprécié.

A l’état sauvage, elle vit au cœur de petits groupes familiaux comprenant une vingtaine d’individus. Seuls une femelle et un mâle s’y reproduisent régulièrement, ce qui a pour effet de limiter la difficulté de la recherche de nourriture. Un large terrier est creusé par la colonie pour l’abriter. Il se compose de plusieurs « pièces », destinées à accueillir les nids et les réserves de nourriture.

La gerbille, ou Mérione de Mongolie (alimentation, maintenance et reproduction)Le pelage des sujets sauvages est agouti avec un ventre blanc, mais de nouvelles robes sont apparues en captivité, par le biais de l’élevage sélectif, comme le noir, le blanc, le roux et d’autres unies ou variétés bicolores.

Son régime alimentaire dans la nature se compose de graines, céréales, insectes, racines et autres végétaux. En captivité, un mélange de graines pour gerbille ou des granulés lui convient parfaitement, associé à de petites portions de fruits et légumes. Les végétaux lui permettent d’extraire l’eau dont elle a besoin, car elle boit très peu. Un récipient d’eau fraîche est cependant indispensable. De petites portions d’œuf dur ou de fromage peuvent être proposées exceptionnellement comme friandises. Il ne faut pas en abuser, tout comme des graines de tournesol dont elle est extrêmement friande, car elle est facilement sujette au surpoids. Consultez notre liste pour connaître les aliments toxiques pour elle.

Une gerbille en bonne santé est une gerbille correctement nourrie, mais disposant aussi de moyens variés de se distraire. A ce propos, une petite gamme de jouets et accessoires, comme des roues, ponts suspendus ou des balançoires est commercialisée en animalerie, mais vous pouvez également en confectionner vous-mêmes, en suivant les tutoriels régulièrement mis à votre disposition sur AnimOgen. Des éléments en bois et en carton contribuent également à user ses incisives, qui poussent en permanence.

La gerbille, ou Mérione de Mongolie (alimentation, maintenance et reproduction)La présence d’un ou plusieurs congénères est également requise pour son équilibre, bien qu’il soit souvent délicat d’en ajouter chez un sujet adulte. Deux mâles ou deux femelles placés simultanément dans la même cage forment généralement une bonne combinaison, et plus encore s’ils proviennent de la même fratrie.
Une cage de 60 cm de long X 40 cm de large et de haut peut accueillir un ou deux sujets. Une cage n’est jamais trop grande, donc n’hésitez pas à oser investir dans l’espace le plus grand possible.

La reproduction peut être envisagée peu à partir de trois mois mais donne de meilleurs résultats à partir de deux ans. La gestation dure 24 jours. La portée compte environ six petits, qui naissent nus et aveugles, mais sont déjà couverts de poils après dix jours. Au cours de cette période, il faut intervenir le moins possible dans la cage et soigneusement se laver les mains avant d’y toucher, en évitant les petits. A défaut, la mère pourrait les négliger, sa sensibilité aux odeurs étant extrême. Le sevrage intervient entre quatre et cinq semaines.

Cette espèce est facile à apprivoiser. Il ne faut jamais la saisir par la queue, qui est très sensible, sous peine de la voir se desquamer et finir par se détacher, sans espoir de repousse. Cette astuce lui permet d’échapper à ses prédateurs dans la nature. Vive et curieuse, elle alterne périodes d’activité intense et longues siestes, ce qui lui permet d’être active le jour, mais aussi, à un degré moindre, la nuit. Sans se montrer câline, elle peut devenir familière avec son maître, à condition de faire l’objet d’attentions répétées de la part de ce-dernier. Les friandises, distribuées avec parcimonie, entretiennent aussi l’amitié.

La gerbille, ou Mérione de Mongolie (alimentation, maintenance et reproduction)

Source : angelk

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:18

2013-05-22

 

Capra sibirica (ou Yanghir) est une espèce de bouquetin également appelée ibex de Sibérie.

Taxonomie

Il n'est toujours pas certain que Capra sibirica soit spécifiquement distinct des autres ibex, et certains auteurs utilisent le nom Capra sibirica ou Ibex sibirica (Shackleton 1997), quoique Wilson et Reeder (1993) le considèrent comme une espèce séparée, suivant en cela Geptner et al. (1961).

Quatre sous-espèces sont reconnues par Fedosenko et Blank en 2001, sur la base des caractéristiques des cornes et des couleurs de robe :

Fedosenko et Blank rejoignent en cela les chasseurs, qui l'appellent ibex de Sibérie et établissent des différences similaires entre ibex de Gobi, de l’Altaï, des monts Tian et de l’Himalaya. Wang en 1998, Smith et al., en 2008, reconnaissent une autre sous-espèce :

  • C. s. dementievi, dans les montagnes du Kunlun près du point de jonction de celles-ci avec le Pamir et le Karakoram.

Plusieurs autorités ne reconnaissent pas ces sous-espèces (par exemple Wilson et Reeder, 2005) et la taxonomie n'est pas encore déterminée.

D'autres noms sont relevés : almasyi, altaica, dauvergnei, fasciata, filippi, hemalayanus, lydekkeri, merzbacheri, pedri, sakeen, skyn (peut-être une typo mise pour sakeen), et wardi.

L'UICN rappelle trois noms (ibex de Sibérie, ibex Asiatique et ibex de l'Himalaya) dont on ne sait si elle les considère comme étant la même espèce ou bien trois espèces différentes.

Description

Le corps mesure de 130 à 165 cm de longueur. La hauteur à l'épaule est de 67 à 110 cm. La queue mesure de 10 à 18 cm. Le poids varie de 35 à 130 kg. La couleur de la robe varie grandement pour l'espèce. La couleur dominante est un brun clair, avec le ventre plus clair. Les deux sexes ont une barbiche de couleur foncée sous le menton, moins prononcée chez les femelles. Cette espèce d'ibex ne présente pas les marques contrastées noires et blanches sur les jambes, que l'on note chez le bouquetin de Nubie et le bouquetin d'Abyssinie.

Répartition

La plus large population de Capra sibirica se trouve dans l'Altaï en Mongolie avec 80 000 individus estimés. Le reste de la population est légèrement au sud-ouest, dans les montagnes qui bordent le bassin du Tarim au nord (monts Tian) et à l'est (Pamir), avec 70 000 individus sur les territoires du Kirghizistan et du Tadjikistan, 40 000 à 50 000 individus sur le territoire du Xinjiang en Chine (voir la réserve naturelle nationale du Pic Tomur), 17 000 individus sur le territoire du Kazakhstan, 2 400 individus sur le territoire Ouzbékistan. Le Pamir d'Afghanistan a une population non dénombrée, celui d'Inde quelques centaines. L'Inde au sud de l'Himalaya en abrite également 4 000 individus, et 6 000 dans le Ladakh. On en trouve aussi en Sibérie du sud, au Pakistan, et dans d'autres montagnes de Chine.

Conservation

L'espèce est inscrite dans la liste rouge de l'UICN avec le statut de préoccupation mineure.

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20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 09:26
2013-05-20
 
Officiellement protégée par la CITES depuis 1975 et classée en danger par l’IUCN depuis 1986, la panthère des neiges est principalement menacée par les activités humaines. La panthère ou léopard des neiges, Panthera uncia, est un félin vivant en solitaire sur un territoire pouvant atteindre une centaine de km2. (A la fin du texte, une petite vidéo sur le quotidien du léopard des neiges)201-20100322 felins gilles 0950 DxO raw
  La population mondiale de panthère des neiges en milieu naturel se situe entre 3 000 et 7 000 spéciments, répartis sur les 12 pays d’Asie centrale. Cette estimation varie du simple au double, car« la panthère des neiges est peu étudiée et difficile à étudier, car très discrète » affirme-t-elle.
« Au Kirghizstan où nous allons, la population est estimée à 400 individus », précise-t-elle. Il faut ajouter à ce chiffre les quelque 600 ou 700 léopards des neiges qui se trouvent dans des zoos autour du monde.

Des menaces constantes et variées

Selon le Snow Leopard Trust, la panthère des neiges est chassée illégalement pour sa fourrure, très prisée en Asie Centrale, en Europe de l’Est et en Russie sous forme de manteau et autres vêtements. Les os et d’autres parties du corps du léopard des neiges sont également très demandés dans la médecine chinoise traditionnelle. Enfin, les félins sont souvent capturés à l’état sauvage pour aller rejoindre des collections animalières privées en Asie Centrale.
La plupart des braconniers habitent sur le territoire du léopard des neiges et ne vivent que de quelques dollars par jour. Ils voient le braconnage comme une source de revenus supplémentaires particulièrement lucrative pour nourrir leur famille. Les panthères des neiges s’attaquent parfois aux troupeaux domestiques. La situation financière des éleveurs de ces régions est précaire, leur revenu repose entièrement sur leurs bêtes. La perte d’un seul mouton ou d’une seule chèvre représente une réelle épreuve économique. C’est pourquoi les éleveurs se vengent souvent en posant des pièges, en empoisonnant ou en tirant sur les léopards des neiges.
L’habitat de la panthère des neiges subit également de graves dégradations et fragmentations, car les humains s’enfoncent toujours davantage dans les montagnes avec leurs troupeaux. Le surpâturage endommage les prairies de montagne, laissant moins de nourriture aux moutons et chèvres sauvages, qui sont les principales proies du léopard des neiges.
 
Une panthère répartie dans toute l’Asie
 
 
La panthère des neiges est présente dans 12 pays d’Asie Centrale. Elle y vit dans les montagnes à de hautes altitudes : Entre 3000 et 5500 mètres au-dessus du niveau de la mer. Elle apprécie les climats froids et secs, où la végétation est composée d’herbes et de petits arbustes. Elle est parfaitement adaptée aux montagnes qu’elle habite au climat peu hospitalier.
Elle est le prédateur principal dans son habitat et a peu d’ennemis naturels. Elle se déplace souvent le long de corniches ou de falaises et apprécie particulièrement ce genre de géographie qui lui offre un bon panorama sur les alentours pour repérer ses proies.

Quelques mots sur sa biologie

Chasseur redoutable, la panthère des neiges est capable de tuer des bêtes qui pèsent trois fois son poids. Son régime alimentaire varie selon les zones d’habitat, mais se compose principalement de moutons et de chèvres sauvages. Parmi ses espèces de proie les plus importantes, les deux plus grosses sont le mouton bleu dans l’Himalaya et au Tibet et le bouquetin d’Asie, une chèvre sauvage retrouvée à travers toutes les montagnes d’Asie Centrale.
La panthère des neiges mange également des animaux plus petits, notamment en été. Dans certaines régions, elle consomme également des quantités conséquentes de végétaux, particulièrement pendant la saison des amours.
La saison des amours s’étend de janvier mars. La gestation est d’environ 100 jours. En moyenne, 2 à 3 petits naissent par portée, et cela tous les deux ans en raison de la durée nécessaire à l’éducation des petits. Les mâles ne participent pas à cette éducation. Les petits apprennent à chasser dès 3 mois et quittent leur mère entre 18 et 22 mois. Ces panthères vivent de 10 à 15 ans en milieu naturel et jusqu’à 21 ans en captivité.

S’engager pour la sauvegarde de la panthère des neiges

L’association d’éducation aux sciences, Objectifs Sciences International, s’engage dans la conservation des espèces menacées, notamment au travers d’expéditions organisées dans le cadre de son programme de recherche « Panthera ». Ce programme vise à participer à la sauvegarde de la panthère des neiges. C’est au Kirghistan, en Asie centrale, au cœur d’une réserve naturelle d’état, que chaque année ont lieu ces expéditions scientifiques, en collaboration avec des scientifiques locaux et des gardes chasses de la réserve Sarychat-Ertash. Les objectifs sont de récolter des données de terrain et de faire prendre conscience de l’importance de la survie de la panthère, auprès des populations locales et occidentales. Le peuple kirghize est un acteur à part entière de ce programme de recherche. Pour connaître les prochaines expéditions, rendez-vous sur le site de l’ONG.
 
 
 
 
 
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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 17:14
Mis en ligne le 2012-04-29
 
 
 
 
 
 Résumé
A l'aube, la vie quo­ti­di­enne reprend ses droits. Au cocon moelleux de la yourte, suc­cè­dent les paysages sans lim­ite des grandes prairies aux herbes hautes dont seuls, les nuages, le soleil et le vent mod­u­lent la poignante monot­o­nie. C'est en com­pag­nie de la petite troupe d'éleveurs et de leur trou­peau en quête de pâturages que se pour­suit notre voy­age en musique à tra­vers les steppes, les déserts et les montagnes.

Info:
Type : Documentaire
Durée : 52 min
Réalisateur : Henri Lecomte Yves Billon
Date de sortie : 1993
Co-production : Les Films du Village TLT
Langues : English / Français
Distribution : Zaradoc / www.zaradoc.com

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 03:19

Mis en ligne le 2012-02-09

 

La Mongolie est l’Etat indépendant le moins densément peuplé au monde. Sauvages, préservées, les steppes s‘étendent à l’infini. Mais le pays fait face à des changements majeurs. La vie nomade traditionnelle est menacée. Les changements climatiques déciment les troupeaux et poussent les bergers à migrer vers Oulan-Bator. La capitale peine à répondre aux besoins de tous. En 2012, Oulan-Bator est une capitale sous pression.

LANCER LE REPORTAGE

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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 19:21
Mis en ligne le 2011-11-30
merci à je ne sais plus qui !
 
 
 
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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 21:48
Mis en ligne le 2011-11-28
 
 
 
 
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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 18:45
Mis en ligne le 2011-11-28
 
 
 music:
Eduard Artemiev
"Tarkovski's Stalker", 1979.
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